LA TRANSMUTATION CELLULAIRE Notre vie peut-elle changer ?

Sommes-nous condamnés à vivre encore et encore les mêmes choses ? Faire des choix différents en apparence mais voir les situations, et pire, les émotions et la souffrance se répéter régulièrement.

Stéphanie, 36 ans, en est déjà à sa troisième relation amoureuse lorsqu’elle vient consulter. «  Je ne comprends pas » me dit-elle, « j’attire toujours les Hommes passifs ». Alors qu’elle n’a qu’une envie, que son attraction se tourne enfin vers un homme bien ancré dans son masculin mais qui soit malgré tout respectueux de la Femme. Elle veut un homme qui prend des initiatives, qui propose, qui guide à certains moments la relation. Un homme qui inspire confiance et sécurité pour qu’elle puisse s’épanouir dans son couple.

 

La mémoire cellulaire, ses influences, et l’expérience de Stéphanie

Nous portons en nous, dans nos cellules, dans notre ADN, quantités d’informations biologiques, bioénergétiques, mémorielles. Ces informations conditionnent notre manière de penser et de voir le monde. Elles vont donc nous offrir de grandes opportunités de découvrir la Vie à travers leurs filtres, et par conséquent, limiter également notre liberté. Appelons çà "la carte du monde" si vous le voulez bien.

Dans sa carte du monde, Stéphanie porte des mémoires qui lui font vivre et attirent à elle sa réalité, son expérience. Nous commençons donc la thérapie et axons la compréhension sur les informations en elles qui vont générer au final de la souffrance parce qu’elle ne peut construire une relation avec un homme suffisamment Yang pour elle. Très vite les premières croyances apparaissent, «  si je laisse l’initiative à l’homme il a le pouvoir de me soumettre » mais plus subtile encore tirée du système familial et de la vision du couple de référence «  la femme, fragile et faible, est soumise ». Et bien entendu en rejetant cette manière de penser et de vivre, Stéphanie va plutôt adopter la croyance inverse «  L’homme, celui qui agit et prend les décisions, reçoit attention et reconnaissance ». Et voilà, la carte du monde est dressée, la pièce peut commencer. Quelle place reste-t-il alors dans son fonctionnement tiré de ses croyances, pour construire une relation équilibrée ? Pour répondre à son besoin de liberté et de reconnaissance, elle a tout naturellement intégré un comportement Yang/Masculin. Et cela a de fait, conditionné ses relations de couple et les hommes qu’elle attire à elle.

Les mémoires sont des croyances, des pensées qui se sont densifiées, jusqu’à se cristalliser dans la cellule. Elles agissent comme des panneaux indicateurs dans notre aura vibratoire, et cela, jusque dans nos cellules. En rencontrant quelqu’un pour la première fois, inconsciemment nous connaissons tout d’elle et elle tout de nous. Nos champs vibratoires sont le recueil de toutes les informations nous concernant. Au moment de notre mort, une partie du corps causal (Aura) est chargé de récupérer toutes les informations s’y trouvant, permettant ainsi à l’âme l’ascension vers les plans spirituels, et se charge de faire le « reset » de notre programmation. Par le biais de la technique appelée » transmutation cellulaire », parce qu’elle permet de changer l’information à la fois dans la cellule et dans le corps causal, quiconque apprend cette technique est libre de son vivant d’utiliser ce mécanisme du corps subtil « causal » et de se débarrasser des panneaux indicateurs, de la mémoire génératrice de souffrance, et donc des comportements qui en découlent, en un instant.

Stéphanie libère donc son champ informationnel et commence à agir différemment. Plus à l’écoute lors de ses premiers rendez-vous, elle arrive à mieux affirmer son désir d’être prise en charge par l’homme. Dans les premiers moments de la relation, les choses changent et elle s’en félicite. Pourtant lorsqu’il s’agit de l’intimité sexuelle du couple, elle se voit encore initiatrice, en contrôle, et insatisfaite. Nous cherchons ensemble les mémoires responsables de cet état de fait. Ce fût plus difficile à conscientiser pour elle, les résistances psychiques du mental qui la protègent étaient bien en place. Mais finalement en écoutant les émotions en elle, elle remonte jusqu’à l’idée que « un jour la femme en elle devra donner, et cela seulement au bon, son précieux cadeau qu’est sa jouissance et son abandon au plaisir ». Rappelez-vous sa mère avait des comportements de soumission, et la société propage également cette idée que « la femme se donne ». Comment alors jouir ? Elle décida inconsciemment qu’elle sera à l’initiative, qu’elle prendrait, qu’elle dominerait, qu’elle dirigerait. « Si j’accueille l’Homme dans mon vagin, il a le pouvoir sur moi »  et çà pas question !

Une fois les mémoires des cellules transmutées et remplacées par des informations libératrices, Stéphanie trouva un plaisir qu’elle n’avait jamais atteint, le pouvoir d’accueillir mais aussi de donner. Son couple et sa sexualité s’en portent à merveille aujourd’hui.

 

Conclusion

Nous sommes de l’information densifiée, que la pensée structure et cristallise dans nos cellules et nos corps subtils. Ces mémoires agissent, le plus souvent à notre insu, pour nous faire vivre la réalité que nous pensons, à laquelle nous adhérons. Et nous allons attirer à nous les personnes, les situations, en fonction de ces mémoires.

En changeant ces informations nous devenons plus libres dans nos schémas structurels, et par conséquent entièrement libre de changer notre vie et d’attirer à nous plus d’harmonie et de joie.

Le principe de transmutation cellulaire se fait énergétiquement dans notre champ informationnel, et avec un nouveau programme dont nous sommes chaque jour les concepteurs, nous pouvons enfin vivre nos rêves.

Pourquoi alors continuer à entretenir une vielle carte du monde si nous pouvons en changer les contours ? Pourquoi se priver d’un outil si facile à apprendre ? Avons-nous une croyance qui nous en empêche ?

 

Didier Friederich, Psycho-somatothérapeute Energéticien